Si le marais du Cassan et de Prentegarde n’existait pas ou s’il était détruit, il serait nécessaire que l’ensemble des services précitées, rendus gratuitement par cette infrastructure naturelle, soient compensés par des aménagements et infrastructures artificiels (exemple : une station de traitement des eaux devrait remplacer la filtration naturelle des zones humides), ce qui représenterait un coût considérable pour la collectivité.